Années de construction
Quelques chiffres immobiliers
Paris 2ème*
34%
De propriétaires
66%
Ont moins de 45 ans
64%
Ont 9 ans ou moins d'ancienneté
39%
De familles
Années de construction
Nombre de pièces
Afin de dénicher encore des biens à fort potentiel, votre chasseur immobilier vous conseille les abords de la rue Saint-Denis qui est en pleine mutation ainsi que le secteur de la porte Saint-Martin.
Pourquoi un chasseur immobilier ?
S’étendant de l’Opéra Garnier jusqu’au quartier des Halles, le 2ème arrondissement est le plus petit de Paris en superficie. Desservi par de nombreuses lignes de bus, par la ligne 3 du métro au sud et la ligne 8 et 9 au nord sur les grands boulevards, c’est un secteur de Paris où il vaut mieux délaisser sa voiture pour les transports en communs.
La richesse patrimoniale et culturelle de ce secteur est forte avec ses nombreux passages couverts (voir plus bas) et sa diversité de théâtres. Très peu d’espace vert en revanche, il faut aller plus au sud dans le 1er arrondissement pour en bénéficier.
20 250 habitants
30 500€ de revenu médian, soit exactement la moyenne parisienne.
65% de – de 45 ans, taux le plus élevé avec le 9ème et le 10ème.
65% de studio et 2 pièces, taux le plus important sur Paris
Le 2ème arrondissement a connu une diversité et une cohabitation de milieux et d’activités distincts.
Partie intégrante de l’enceinte Charles V (XIVe siècle), l’habitat s’est réellement développé à partir du XVIIe siècle. L’axe de la rue Saint-Denis s’est ornait d’un grand nombre d’établissements religieux dont l’Eglise Saint-Sauveur, détruits depuis.
Au début du XIXe siècle, le quartier de la Bourse attirait le monde de la finance, les boulevards devenaient un lieu « branché. Apparut alors un nouveau type d’aménagement urbain : les passages couverts. L’arrondissement compte plus de la moitié des passages parisiens situés essentiellement aux abords des grands boulevards. Du plus ancien « Passage du Panorama » au plus grand « Passage du Caire » en passant par le plus spectaculaire « Passage du Grand-Cerf », la majorité abrite des boutiques, des salons de thé ou des restaurants.
Historiquement base arrière du quartier des Halles, Montorgueil a perdu son caractère populaire pour devenir une artère pavée qui attire certains des meilleurs commerces de bouche de la capitale. Le Sentier conserve lui sa vocation commerciale et artisanale même si l’exode semble se confirmer.
De nombreuses « maisons » populaires conservent l’aspect originel du Paris ancien, lequel faisant cohabiter dans la même rue des catégories sociales variées.